« Aux fleurs qui poussent sur le bord des routes, aux sentiers secrets tracés la nuit dans les bosquets, aux chemins qui serpentent

le long des rivières, aux ineffables sillons dessinés dans l’humus des forêts sacrées, aux vols des oiseaux qui dansent parmi les nuages,

aux innombrables visages marqués par l’immensité des paysages, aux peuples des marges, aux cailloux des chemins, aux rêveurs infinis,

aux enfants insoumis, aux orphelins, apatrides, clandestins, aux bandits de grands chemins...

Approchez, approchez ! N’hésitez pas ! Entrez ! »